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z6 A 8 T R e' e L E O N I D E. ! A Princeffe, fon Aftrée a pourluy trop de char mes. C< G A t, A T e' E. Eh! n’ay-je pas les mefmes armes? N ’eft-ce rien que mon rang auprès de Céladon? . L % o N i d E. G; Vous ne connoilfez pas les Bergers du Lignon. Fa Leurs Amours font leurs Dieux, l’oficnfe la plus noire Pour eux cû Firrfidcliré. ('Aynter fait leur félicité; " . ■ Pn Aymer conftammcnt fait leur gloire. Je G X l~a t e' e. T outes les Conqueftcs d’éclat Flatent la vanité des hommes. Quelques confiants qu’ils foient dans les lieu* où nous lommes, La beauté dans mon rang ne fit jamais d’ingrat. Je tremble, je levoy ; quoy, mefine en ma .Vo prefence Ilfoûpirc, il fe plaint aux Echos d’alentour! Ch L E O N I D E. Il n’eft plein que de fon amour. .A i Par fes chagrins, jugez de fa confiance. • SCENE TROISIE ME. . GALATE£ CELADON, LEONIDE. ,Ma G A t. A T E' E. Céladon , contemplez nos jardins 8c nos bois, Qui.ne-croiro.it que Flore y tienne fon empire i De ces Oyfeaux qu amour inipire , Ecoutez les charmantes voix. Achat-