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dë La Naturë. 33 P r °sterner devant des serpens, des cro codiles et des dieux qu’on n’ose nommer. Un les voit offrir dans leurs sacrifices , le sang de leurs ennemis et la virginité de '..urs filles. Tel est le caractère d’un peup e , telle est sa religion. L’homme est tellement entraîné par cette impulsion celeste, que , lorsqu’il cesse de prendre la Divinité pour son modelle, il ne man que jamais d en taire une sur sa propre image. r * Il y a donc en l’homme deux puissan ces : 1 une animale , et l’autre divine La première lui donne sans cesse le senti ment de sa misere ; la seconde , celui de son excellence: et c’est de leurs combats que se tournent les variétés et les con tradictions de la vie humaine. L est par le sentiment de la misere aup nous sommes sensibles à tout ce qui nous offre une idée d’asyle et de protection d aisance et de commodité; voilà pour quoi la plupart des hommes’ aimenf les tranquilles retraites , l’abondance et lr, e r s »Ha, q e "re l, i , M,Ur t lib f ra,e ’' , . ré - ce sentiment qui donn^à rT" 15 ' C ? St chaînes de llW àSn queThon,™ S"?' r r . 1> compagne de ses p“ - ans celle de ses plaisirs et que les tüS ff n l f.^sdas secours l leurs Keois s î ‘ •'!’ T r . e " d paisible ayicle du récit des intrigues Bj