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en maison. —F. Comment pavez-vous le tra vail et les journées de vos artisans, et avec quoi leur achète-t-on leurs ouvrages? — I. Avec du maïs, du cacao, des manteaux ou d’autres marchandises ; nous allons aussi d’un endroit à l’autre pour trafiquer.—F. Avez-vous, à cet égard, des lois et des règlements, et va-t-il un prixfixépourchaquechose?—l.Non, leprixest fixé par la volonté des parties, et chacun vend le plus cher qu’il peut; il n’est permisàaucun homme du village d’entrer dans le Tianguez ou place du marché, pour vendre ou acheter, ni même pour le regarder de loin; si on en aperçoit un, on lui dit des injures, et s’il y entrait on le battrait. On regarderait comme un coquin, celui qui entrerait dans le marché ou le traverserait; mais toutes les femmes du village vont au Tianguez avec leurs marchan dises ; les hommes et les femmes des autres villages peuvent aussi entrer sans danger dans le Tianguez. Cette dernière coutume ne s’ap plique pas à tous les étrangers, mais seule-