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22 M E D £' E, ACTE SECOND. Ce à Le Theatre reprejente m Feftibuïe, orné d'un grand Portique. S C E N El. CREON.MEDE'E.NERINE. Ç>i C R E O N. I L eft temps de parler fans feindre. J e Acaftc vouspourfuit, vous n’avez rien à craindre j Sur quelqu’efpoir qu’il forme Ces dePeins . Tombe lur Corinthe la foudre, Plûtoft qu’on puiffe me rcibudre, A vous livrer entre les mains. jyj M E D e' E Seigneur, une bonté fi grande, M Marque le cœur d’un véritable Roy. C R E O N. Lorfque pour vous j e fais ce que j e doy>, Avofiretour, lajuilice demande *' Que vousfaifiez quelque chofe pour moy. A vous voir dans ma Cour.mon peuple s’inquiere, Il craint ce qu’avec vous vous traînez de malheurs Et que ma complaifance à vous donner retraite Neluy foitun iùjetde pleurs. S Pour le guérir de les alarmes, Allez attendre en d’autres lieux, , Pcn-