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NOTES. diges et des fables. » ( Syn., in Calvit. ) C’est-à-dire que les prêtres avaient des sphères armillaires comme les nôtres ; et ce passage, si concordant avec celui de Chérémon , nous donne la clef de toute leur théologie astrologique. Enfin , ils avaient des plans plats , très-compliqués , por tant toutes leurs divisions fictives de décans et sous-décans, avec les indications hiéroglyphiques) de leurs inlluences. Kirker en a donné une copie dans son OEdipe égyptien, et Géhelin un fragment figuré dans son volume du calendrier ( sous le nom de Zodiaque égyptien ). Les anciens Égyp tiens , dit l’astrologue Julius Firmicus ( Astron., lib. n, c. 4 , et lib. JV , c. 16 ) , divisent chaque signe du zodiaque en trois sections ; et chaque section fut sous la direction d’un être fictif, qu’ils appelèrent décati ou chef de dixaine ; en sorte qu’il y eut trois décans par mois , et trente-six par an. Or, ces décans, qui furent aussi appelés dieux (Théoi), règlent les destinées des hommes.... et ils étaient spéciale ment placés dans certaines étoiles.... Dans la suite ou ima gina en chaque dixaine trois autres dieux, que l’on appela les dispensateurs ; de sorte qu’il y en eut neuf par mois, qui furent encore divisés en un nombre infini de puissances. ( Les Perses et les Indiens firent leurs sphères sur des plans semblables ; et si l’on dressait un tableau de la description qu’en donne Scaliger à la fin de Manilius , l’on y verrait pré cisément la définition de leurs hiéroglyphes , car chaque ar ticle en est un. ) Pag. 167 , ligne 3. (L’hémisphère d’hiver lui était anti pode. ) Yoilà précisément pourquoi le nom d’Ahrimanes était toujours écrit par les Perses , renversé ainsi, prqjiiupu. Pag. 167 , ligne 23. [Typhon, c’est-à-dire le déluge, à raison des pluies. ) Typhon , prononcé touplion par les n fs