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R ? Pauvre Jaques, quand etc. etc. Pauvre Jaques, etc. : ■; Victor Hugo. = : :* Quand le soleil brille sur nos guerets, Je ne puis souffrir sa lumiere, Et quand je suis ä l’ombre des forets, J’accuse la nature entiere. 11_ t cz K- 3 ll )><♦ )(• >(• >(• )(» >C )(• >C )(♦ )(•)(• >(•><• HIHI Xt X» X<>X» X«)XtX«)X» XtiXrXW X«)XO«)X» X« X» >(•><• >(•)(• >(• ><♦ >«')(♦ XtX»>«7 t- £ £ £ i? tW< W< W< W< W< W< W<W< W<W< «X *X W<W<W<W<W<W<W<W<W<W<W<W<W<M< W<M< «XW< W<W< W<W< «)< t) < tM w < W< W< WW<W<h| E Französische Lieder, gesungen von Frau Schnitzen von Asten. a) Pauvre Jaques von Marie Antoinette. Pauvre Jaques, quand j’etais pres de toi, Je ne sentais pas ma misere, Mais ä präsent, que tu vis loin de moi, Je manque de tout sur la terre. Quand tu venais partager mes travaux, Je trouvais ma täche lagere; T’ en souviens-tu ? tous les jours dtaient beaux; Qui nous rendra ce temps prospere! b) Ariette aus „Zerline“ von Auber. Que rien ne vous inquiöte, par mes soins j’ai tout prevu! Ce soir, ce bal, cette fete, demain l’hymen convenu! Mon fröre, le Roi lui-meme, toujours cöde ä mes voeux; II sait quel est mon Systeme, je veux, je veux ce que je veux! II vous accorde une gräce que vous ne devrez qu’ä moi! Vous regnerez ä sa place, il vous nomme vice-Roi! Le Roi, mon fröre, qui m’aime, toujours cede ä mes voeux! II sait quel est mon Systeme, je veux, je veux ce que je veux. c) Adieux de l’hötesse Arabe von Bizet. Puisque rien ne t’arrete en cet heureux pays, Ni l’ombre du palmier, ni le jaune mais, Ni le repos, ni l’abondance, Ni de voir ä ta voix battre le jeune sein De nos soeurs dont, les soirs, le tournoyant essaim Couronne un coteau de sa danse, Adieu, beau voyageur! hölas! adieu! Oh! Que n’ es-tu de ceux Qui donnent pour limite ä leurs pieds paresseux Leur toit de branches ou de toiles ! Qui, reveurs, sans en faire, ecoutent les recits, Et souhaitent le soir, devant leur porte assis, De s’en aller dans les ötoiles! Helas ! adieu! adieubeau voyageur ! Si tu l’avais voulu, peut-etre une de nous, Jeune hommet’ eüt aime te servi ä genoux; Dans nos huttes toujours ouvertes Elle eut fait, en bergant ton sommeil de ses chants, Pour chasser de ton front les moucherons möchants, Un eventail de feuilles vertes. Si tu ne reviens pas, Songe un peu quelquefois Aux Alles du dösert, soeurs ä la douce voix, Qui dansent pieds nus sur la dune. O beau jeune homme blanc, bei oiseau passager, Souviens-toi, car peut-etre, 6 rapide etranger, Ton Souvenir reste ä plus d’une ! Helas! adieu! adieu! bei etranger!