Stances de Sapho. C. Gounod. Oü suis je? Ah! oui je me rappelle Tout ce qui m’attachait A la vie est brise II ne me reste plus Que la nuit eternelle, Pour reposer mon coeur, De douleur epuise. 0 ma lyre immortelle Qui dans les tristes jours A tous mes maux Adele Les consolais toujours En vain ton doux murmure Yeut m’aider ä souffrir Non tu ne peux guerir Ma derniere blessure Ma blessure est au coeur Seid le trepas peut finir ma douleur. Adieu flambeau du monde Descends au sein des flots En vein ton doux murmure Yeut m’aider ä souffrir Non tu ne peux guerir Ma derniere blessure Ma blessure est au coeur Seul le trepas peut finir ma douleur. Adieu flambeau du monde Descends au sein des flots Moi je descends sous l’onde Dans l’eternel repos. Le jour qui doit eclore Phaon luira pour toi Mais sans penser ä moi Tu reverras l’aurore Ouvre toi gouffre amer Je vais dormir pour toujours dans la mer. g f.Händel 3b. Recitativ und Arie a. d. Oper „Xerxes”. Frondi tentere e belle Del mio platano amato, Per voi risplende il fato. Tuoni, lampi, e procelle, Non v’oltraggino mai La cara pace, Ne giunga a profanarvi, Austro rapace. Ombra mai fu Di vegetabile, Cara ed amabile, Soave piii? J. Brahms. 6a. Sapphische Ode ■ Hans Schmidt. Eosen brach ich Nachts mir am dunklen Hage; Süsser hauchten Duft sie, als je am Tage; Doch verstreuten reich die bewegten Aeste Thau, der mich nässte. Auch der Küsse Duft mich wie nie berückte, Die ich Nachts vom Strauch deiner Lippen pflückte: Doch auch dir, bewegt im Gemüth gleich jenen, Thauten die Thränen.