!* A L C I D E, acte y. Le Theatre reprefente le Mont Æta. Me SCENE PREMIERE. DEJANIRE fettle. So C'] EST ,f ur cc Mom facréqucl’infidelle AI.- v ~ / cidc Veut couronner fa tendreffe perfide, Et célébrer les nœuds d’un hymen criminel ; T r De tous coftez le Peuple accourt à cette fefte. Les Prcftres ont dreffé l’Autel. Le bûcher va brûler, & la viétime eft prcfic : Mon efpoir feroit-il deceu? ‘ n Du voile de Neffus quel effet dois-jeattendre? I ar les mains de Licas mon époux l’a receu. T eporte-t il en vain , & ne puis-je prétendre Qui S Ic) ' uI , k ^«ngement , , .«./une enangement ^ui peut feul terminer ma honte & mon tour- ment s C E N E II. DEJA NI RE . Troupe de Pre/lres & de leurt Mtntjtret, Troupe de Peuple. D E C H OE U R. n • ftvorife nos voeux. Viu Alcide fous tes loix foit à jamais heureux. Dejanire. Dieux ! qu’efl-çe que je viens d’entendre î Un \