38 MED E' E. Deuft payer le beau feu qui regne dans mon cœur Ohonte&Med e'e. Quil’auroitcrû, que tant d’ingratitude Deuil payer le beau feu qui regne dans mon cœur Me d e'e. Souffrirez-vous qu’on vous enleve Ce cher obiet de sosdcfirs ? Si cette rrahifbn vous coûte des foupirs, Souffrirez-vous qu’elle s’acheve î M e d e'e. Quel plus fenfible coup pouvois-j c recevoir ! Tous deux Non, dans Hncœur, quand l’amour cft ex trême, Rien n’approche du defèfpoir D’eftre trahy par ce qu’on aime. Uniffons nos reffentimens Contre ces Perfides Amans. Que Jalon h mes} £la Princeffe 1 Son crime ne peut s’égaler. M e d e'e. Il vient* mon cœur s’émeut & reprend fa ten- dreffe Elle en triomphera, laiffez-moy luy parler,