ao CORONIS, Je voudrois que Daphnis crût qu’il eft mon vain queur j Je feins de méprifcr la perte de ion cœur j Mais que cette feinte me coûte ! Du moins fi ce volage Amant Soûpiroit pour une inflexible, Sa peine adouciroit l’excés de mon tourment : Mais^ma Rivalle, hclas! le trouve trop charmant, Et n eft pour luy que trop fcnfible. Viens ma chere Cephiic en ces fbmbres defers, .Viens m aider à cacher la honte de mes fers. Fin du premier ABe.