PROLOGUE. 7 a bonté quelquefois le dérobe a luy-meme Pourl’abbaifTerjuiquesà nous. f On entend an bruit de Trompettes. Lis quel bruit éclatant vient de fc faire enten- ,n- dre ? Mel. pombne. Luelle clarté divine ! il fembleque les Cieux Dans ce féjour veulent defeendre. Ou mon Héros va paroîtreen ces lieux , •u la Gloire elle même icy bas va ic rendre. ‘ et . La Gloire defeend. La Gloire à Melpomene. lue Thalic aujourd’huy par des Concerts nou veaux •U Roy que nous fervons s’efforce icy de plaire ! ’oy, monte dans ce char, je vaistefatisfaire, •t donner des fujets à tes chants les plus beaux ; ’iens voir mille Guerriers conduits paria pru dence , Ce Roy, l’ame de leurs Exploits, t01 l’attache à leurs deftins par la même puiffance, . . Qui l’a fait vaincre tant de fois, loi Melpomene. s.iuel plus digne fujet deChanfons immortelles s '■ Peut jamais s’offrir à mes Vers ! ux’artons. e à fa Suite. Et vou s, par de charmants Concerts, -xprimez, s'tlfepcut, mes ardeurs les plus bel les j ux A 4 l’ro- S