4^ LES AMOÜRS ÜE ÏHÔ'MUS. ' n ' J '‘ y M‘ ; o v M''ii ; V ,: ; r ^nIi'-' Sl Jeiçay trop comment je doy prendre Un fuccés qui paroift fi contraire à mes vœux : Al Qtterien ne troubleicy nos plaifirs,8c ; |ios jeux ! Savez-vous fi pour vous furprendre Je n ay pas feint d’eftre ampurtyjx^ q M b.. gj L’effet a mal rempli vôffre envie indiTci'efe. cj< ! r M 6 m u *. Contre un fexeflareur& trop fur dé fes coups, , a “ re oe eft toujours imparfaite', : V- La plus fimple^ la moins côquette^ I Sjait tromper cent, fois mieux que nouf He’be\ Mï’uttk, Momus; Joüiflons. d’une Paix profonde. L indifférence eft Jp fi,p, ême bien, • Un Gàcbit qui ae- délire rien !t ”«ovs; Po f£* *"»*'«**-Wo& 8n -'fatum. Le Chmttr npette te* paroles.