’eu) o B A L L E T. i5 ■i’»' v„„ ^‘Pf 1 * d’une ardeur trop fîdelle! vous gui n aimez jamais, que tous cita heu- reux. spJ SCENE QUATRIE'ME. PAL E’ MON, M O M ü S. P a l e’m o N. V .. F, 1 ?' 2 P re ndre part à ma peine,’ ” A , . . Mehttceft toujours inhumaine i * Mais la cruelle a beau méprifer mes ardeurs, J fens que mon dépit augmente ma tendrefTe. 1 M o M ü s. an Je n’accuferay point voftre amour de foiblefle, Mais aujourd’huy, les cendres coeurs a « ont plus tant de délicatefie., DW c 1 * “î Anla . nt eontent de fes malheurs, » une fiere beaute chcrifloit les rigueurs, r-t maigre fes mépris la trouvoit adorable ! ; 1 Mais a prefent, pour felaiiTer charmer, On veutune beauté traitable, i i °, n ne tr °uve rien d’aimable, 1 le P kls bcl Objet qui ne ijaitpas aimer. eu P A t £’ m o k. ” Cœ V a U i f f c( ? n T’r !’ st ?°u*'eurc puiiTancc îw P i US l dc c °nftance ? i’c Efti e î rS T CUX en un !°ur i Eft-ce lehazard qui diftence eu MaTs'c’eneÆ 0 "^ 0 ? devoit à ‘'Amour î eu Ma,,, c e„ eft trop, Je f uis las de me plainJre . Au