TRAGEDIE. a; , A charmer vos ennuis en ces lieux tout con- iar ' c j fp . ire - 'cependant c cft en vain que tout vous fait ia Cour. Nosfoîns, nosvorux, ccbeauféjour, Q * r , , N’ontpoint d’agrément qui vous flate. . «alatée a fujet de fe plaindre de vous : i. Faut-il que fans effet fà preiènce combate : la Cette triftcffe ingrate Que vous ofez conièrver parmy nous. . -j C %' L A D o N. Frinccfle, ma douleur n’eff pas en mapuiffance. Je fors, vous le fçavés, duplusaffrcux dan- „ S c , r ’ . Fuis-je m’empêcher d’y ionger ? G A L A T E' E. ;uX Songez plûtoft à ma prefencc, C’eft la feule reçonnoiffance lt - v A quoyje veux vous engager, ma Vous foûpirez, vous vous plaignez iânsccffe, , p. Si c’eff d’une ingrate Maiftrclfe, nangez, vous pouvés fairèun choix remply d’appas. . oiiitrir tant de maux, quel cceur peut vous i contraindre? r. ‘ Helas ! le mien ne comprend pas Que vous déviés jamais vous plaindre, îs quelle eft cette Aftrée, & depuis quand ies coups Tiennent-ils voftre ame aiïërvic? ois, Voffre efclavage eftoit-il doux ? * re ' C e’ L A D o N. toiL CtllePrinceffe, comme à vous, «as. je fins bien loin de luy devoir la vie! t" Bt G a-