H E S I O N E. Quederaifons pour m’allarmer! A N C H I * E. Ah ! que n’a-t’clle encor quelque grâce nou- Y vellcî Mes mépris à vos yeux bravcroient fon cour roux , - O’ Plus j’aurois a quitter pour vous, Plus vôtre gloire feroit belle Ma Mais Tcla mon... H e s i o t» e. Je O Dieux ! par quel enchantement A-t’il pû furprer.dre un regard favorable ? Helas ! en ce moment Quel fouvenir m’accable !.. Mais ma Raifon revient, & je vois mon erreur : O Venus, jaloule Déeflc, Qu’efperois-tu par cette adrelTe î Du crime de mes yeuxj’ay deffendu mon cœur. Par tes efforts mon feu s'augmente encore, Prince, c’eft-vous, c’eft-vous feulquei’adore, Aimons-nous. A n c h i s E. Aimons-nous. Tous Deux Nos amoursde Venus caufcntla jaloulic, Rendons fon coeur encor mille fois plus jaloux j Aimons-nous, aimons-nous ; Quand fa fureur devroit nous arracher la vie, Mourons en des liens 11 doux, Aimons-nous, aimons-nous. J’ S CE-