TRAGEDIE. a, SCENE SEPTIE'ME. ACHILE, ARCAS. _ |Cj°uro»* vanger cét amy que je pers, kiue de iàng & de morts tous ces champs foient couverts ! Qutf Ion fier vainqueur perifle ! Je dois à l’amitié cejufte facrifiee. Mânes de ce Guerrier dont je pleure le fort,' ’ Je vous promets une prompte vangeance, J en attelle des Dieux la liiprême puifTance, g Je cours chercher Heftor, je cours hâter là > mort, Dans 1 éternelle nuit Ion ombre va vous fuivre, Du moy-même aujourd’huy je cefferay de vivre. Fin du premier Æe.