e aus „Les noces de Jeanette“ von Victor Masse, sungen von Fräulein Enequist-Biondini. Au bord du chemin Qui passe ä ma porte, Fleurit un- bei aubepin Dont le vent m’apporte Les parfums chaque matin. Sur sa branche Qui se penche Un gentil rossignol Vient depuis quelques jours Chanter ses amours, Et sous la ramee parfois J’ecoute charmee sa voix. Ah! voix legere, Chanson passagere, Kabil gracieux Qui rejouit l’air Et les cieux. Du zephire Le soufle t’inspire, Et 1’amour s’eveille A tes aecents melodieux, Pour entendre mieux Sa voix si pure. Le flot clair Appaise son murmure, Et dans l’air Et dans la ramure Le vent soupire Plus tendrement Et plus gaiment. Cette nuit sur ma croisee, L’aile humide de rosee, L’oiseau leger Yint se loger. Triste et plaintive Comme un soupir, Sa voix moins vive Semblait gemir, Mais le jour luit Et sa chanson va revenir. Zweiter Theil. Symphonie (Nr. 7, Adur) von L. van Beethoven. Billets ä 1 Thlr. sind in der Musikalienhandlung des Herrn Fr. Kistne r und am Haupteingange des Saales- zu haben. Sperrsitze ä 1 Thlr. 10 Ngr. sind nur am Concert-Abende an der Casse zu haben. Einlass um 6 Uhr. Anfang um halb 7 Uhr. Ende nach halb 9 Uhr. Das 5. Abonnement-Concert ist Donnerstag den 31. October 1861. Druck von Breilkopf und Härle! in Leipzig.