Zweiter Thell. rture (Die Najaden) aug der Oper: La Favorite von Donizctti, von Fräulein Mathilde G raumann. 0 mon Fernand, tous les biens de la terre, Pour 6tre ä toi, mon coeur eut tout donne, Mais mon amour, von gesunken pur que la prifcre, Au desespoir, helas! est condamne. Tu sauras tout! et par toi meprisee, J’aurui souflert tout ce qu’ou peut souffrir: Si la justice est alors appaisee, Mon Dieu, fais-moi mourir! Venez, cruels! qui vous arrßtc? Mon arrßt descend du ciel. . . , •A .ff 007 Venez tobs FWttPMAdftle f««* '» 11 A bm» / 11 r; h *) o 1 De bouquels parez l’autel, Qu’ une tombe aussi s’apprßte, Et jetez un volle noir Sur la triste fiancee ■ Qui, maudite et repoussSe, Sera morte avant ce soir. i! 1 •loin .:! i ;„in / — Hoiyjoq iuggt. Fuge (Amoll) für Violine allein von J. S. Bach, vorgetragen von Herrn Raimund Drcyschock. Ouvertüre zu Leonore (N s 5), von L. van Beethoven. Das fünfte Abonnement-Concert ist Donnerstag den 7. November. Billets zu % Thaler sind in der Musikalienhandlung des Herrn Fried. Kistner und am Eingänge des Saales zu haben. Einlass halb 6 Uhr. Anfang halb 7 Uhr 'Oifkocact'f li i iii *» (!«>;' stm oJ Ende halb 9 Uhr. oiipilolf. .0 nor (11 ■jsjm*! *ur. A*>o A'mev' 1