LDP: Historische Bestände der Hochschule für Grafik und Buchkunst Leipzig
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Sur l’Emploi de divers Oxydants POUR LA DESTRUCTION DE L’HYPOSULFITE DE SOUDE -IVERSES substances ont été préconisées pour détruire l'hyposulfite • de soude et abréger les lavages auxquels on doit soumettre les plaques et papiers photographiques, dans le but d’éliminer le fixateur. Jusqu’ici l’emploi de ces substances, de préférence aux autres oxy dants, n’avait été justifié que par des expériences très sommaires et, par conséquent, peu concluantes. Afin de rechercher quelles sont les substances les plus propres à l’élimination rapide de l’hyposulfite de soude, nous avons examiné l’action des divers oxydants sur ce corps. Avec chacun d’eux nous avons étudié : i° La rapidité de l’oxydation de l’hyposulfite de soude en faisant varier la concentration de la solution oxydante. On a pris, d’une part, 10 cc. de solution d’oxydant à i o/o et, d’autre part, 2 cc. de solu tion à 5 o/o, et on a mélangé chacune d’elles avec to cc. d’hyposul- fite de soude décime normal. Dans les deux cas on a titré la quantité d'hyposulfite de soude oxydée au bout d’un même temps. On s’est servi pour cela d’une liqueur demi-décime normale d’iode que l’on a ajoutée dans le mélange d’oxydant et d’hyposulfite additionné d’ami don jusqu’à coloration bleue persistante (1). (i) Dans le cas où l’oxydant réagit lui-même sur la liqueur d'iode, on détermine, par un essai préalable, la quantité d’iode absorbée par un volume connu de la solution oxydante non additionnée d’hyposulfite de soude. Si la solution est trop colorée ou bien qu’un précipité (comme dans remploi du permanganate de potassium) marque la coloration bleue que donne l’iode libre avec l’amidon, on pourra facilement se rendre compte de la fin du titrage en faisant des touches avec la liqueur sur du papier amidonné.