LDP: Historische Bestände der Hochschule für Grafik und Buchkunst Leipzig
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— 184 — avons, après le dernier lavage, détaché la gélatine des plaques et l’avons pressée dans un nouet de toile. Le liquide provenant de ce pressage traité par le nitrate d’argent n’a pas donné de réaction sen sible. Ce résultat tendrait à prouver que dans les papiers photogra phiques, c’est la pâte du papier ou son couchage qui retient l’hypo- sulfite de soude et non l’excipient de l’émulsion. Comparaison des quantités d’hyposulfite en éliminées des plaques EN EMPLOYANT DIVERS MODES DE LAVAGE Nous avons comparé les quantités d’hyposulfite de soude non éliminées des plaques en employant trois modes différents de lavage. Dans le premier, on a placé une plaque 13X18 sur le dos d’une cuvette et on a fait couler directement l’eau sur la couche gélatinée. De cette façon la solution d’hyposulfite s’élimine au fur et à mesure, et la plaque ne se trouve pas en contact avec ce liquide. Dans le deuxième mode de lavage, la plaque 13X18 a été placée dans la cuvette et traitée pendant le même temps avec la même quan tité d’eau que précédem ment. La plaque se trouve donc constamment en contact avec les eaux de lavage renfermant l’hypo- sulfite de soude éliminé. Dans ces deux cas, les A. Huillier. plaques n’ont été en con ¬ tact avec l’eau que pendant 5 minutes et on a consommé pour ce lavage 37 litres d’eau environ. Dans un troisième mode de traitement on a immergé la plaque (13X18) 5 fois successivement pendant 5 minutes chaque fois dans 200 centimètres cubes d’eau. On a donc consommé dans ce cas seulement 1 litre d’eau. Après chacun de ces trois modes de lavage, les plaques ont été mises en contact pendant une demi-heure avec 200 centimètres cubes d’eau, et 100 centimètres cubes du liquide ont été prélevés et titrés par une solution d’iode au 1/200.