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Armand Silvestre. b) Pensee L’an fuit vers son declin, comme un ruisseau qui passe. Emportant du couchant les fuyantes clartes. Et parail ä celui des oiseaux attristes — Le vol des Souvenir s'alanguit dans l’espace — L’an fuit vers son declin, comme un ruisseau qui passe - Une peu d’äme erre encore aux calices defunts. Des lent volubilis et des roses tremieres. Et vers le firmament des loin tanir lumieres, Une reve monte encore sun l’aile des parfums. Un peu d’äme erre encore aux calices defunts — Une chanson d’adieu sort des sources troublee. S’il vous plait, mon amour reprenons le chemin. Oü tous deux, au printemps et la main dans la main, Nous suivions le caprice Odorant des allees. Une chanson d’adieux sort des sources troublee. d’Automne. J. Massenet. Une chanson d’amour sort de mon cceur fervent. Qu’un Avril eternel a fleuri de jeunesse Que mement les beaux jours! Que l’äpres driver renaisse! . . . Comme un hyrnne joyeux dans la planete du vent, Une chanson d’amour sort de mon cceur fervent. Une chanson d’amour vers ta beaute sacree. Femme, immortel ete. Femme immortel printemps! .... Sceur de l'etoile en feu qui, vers les creux flottants. Verse en toute saison sa lumiere doree ; Une chanson d’amour vers ta beaute sacree, Femme, immortel ete. Femme immortel printemps. CA. Grandmougin. 6. a) Chanson Te souvient-il des maronniers fleuris Et de la terasse embaumee. Oü nous allions rever et des coins assombris. Bien aimee! Te souvient-il des soirs fleuri de langueurs. Des lilas aux odeurs flottants Et des Astres lointains et dores. Et des Astres dor£s aux lueurs pulpitantes. Mais 1’ideal n’etait pas de les cieux Et brule d’une douce fievre Je le trouvais amie en baisant tes beaux yeux Et ta levre. Te souvient-il des maronniers fleuris Et de la terasse embaumee Oü nous allions reves et des coins assombris Oü nous allions rever Bien aimee! ; d’Amour mit Cello obligat. j. Hollmann. Denkest du noch der blühenden Linden im Tal, Nah’ der Quelle, wo einst wir gesäumt, So oft und so süß geträumt, Im Abendsonnenstrahl? O Geliebte! Denkest du noch der Stunden glühenden Sehnens, Wo berauschende Düfte uns umwehten; Und der goldnen Sterne am dunklen Himmelszelt, Als wir entrückt der Welt, das Glück der Sel’gen uns erflehten? Doch solch ein Glück konnte uns nimmer taugen: Es glühte fieberhaft uns im Herzen, Ich fand es in süßen Schmerzen Und küssend deine schönen Augen und deine Lippen. Denkest du noch der blühenden Linden im Tal, Nah’ der Quelle, wo einst wir gesäumt, So oft und so süß geträumt, im Abendsonnenstrahl? Wo wir so oft geträumt, o du Süße, Heißgeliebte! Armand Silvestre. Quand tu passes, ma bien aimee, L'air est plus doux a mes poumons. Et la route est comme charmee. „Ma bien aimee Aimons, Ma bien aimee Aimons." b) Quand tu passes ma bien aimee. Quand tu souris, ma bien aimee, Les bois les fleuves et les monts. Toute la terre est embaumee. „Ma bien aimees, Aimons. Quand tu chants, ma bien aimee. A. Messager. Obliant fanges et Aimons. Mon äme s'eleve, pamee, Ma bien aimee aimons, Aimons, Mon äme s'eleve, pamee, Ma bien aimee, Aimons. Dienstag, 5. November, 1 |2 8 Uhr, Palmengarten: Konzert PROGRAMM: Bach: Italienisches Konzert. — Schumann: Sonate Fis-moll, op. 11. — Chopin: Nocturne, op. 27, No. 2, Scherzo Cis-moll, op. 39. — Debussy: 3 Pr£ludes (La fille aux cheveux de lin, La Catedrale engloutie, Minstrels). — Sauer: Scherzo Es-dur (aus der 2. Klaviersonate), Gavotte et Musette, Etüde chromatique. — Liszt: Mephisto Walzer No. 1. Konzertflügel: C. Bechsteln aus dem Magazin F. Ries, Seestraße 21. Karten: 5,30, 3,70, 2,65, 1,60 bei F. Ries, Seestraße 21, und Ad. Brauer, Hauptstraße 2.