v\ÜZ4 S) =lf&> @1 A. Caldara. G. Faure. 'S 6 c. 6b. „Come raggio di sol“. Come raggio di sol mite e sereno, Sovra placidi flutti si riposa, Mentre del mare nel profondo seno Sta la tempesta ascosaj. Cosi riso talor, gajo e pacato, Di contento, di gioja un’ alma infiora Mentre nel suo secreto il cor piagato S’angoscia e si martora! Dans les ruines d’une abbaye. Victor Hugo. Seuls, tous deux, ravis, chantant, Comrae on s’aime Comme on ceuille le printemps Que dieu seme, Ouels rires etincelants dans les ombres Jadis pleines de fronts blancs De coeurs sombres. On est tout frais maries On s’envoie Les charmants ecris varies De la joie! Frais echos meles au vent qui frissonne Gaite que le noir couvent assaisonne. On effeuille des jasmins sur la pierre Oü l’abesse joint les mains en priere, On se cherche on se poursuit, on sent croitre Ton aube, amour, dans la nuit, du vieux cloitre. On s’en va se becquetant, on s’adore On s’embrasse a chaque instant, puis encore, Sous les pihers, les arceaux et les marbres O’est l’histoire des oiseaux, dans les arbres. *■ i