DU RIO DE S. FRANCISCO. 327 voyage, on a porté beaucoup trop haut le nombre des es claves, peut-être pour ne pas tomber dans le défaut des évaluations plus anciennes qui, sans doute, étaient trop faibles. Un état de population dont je n’ai pas encore parlé et qui semble mériter plus de confiance que tous les autres, parce qu’il est plus conforme à la nature des choses, est celui qu’a publié, pour l’année 1824, M. da Cunha Maltos, ancien gouverneurmilitaire de la province[governadordas armas); je le traduis ici d’autant plus volontiers qu’il se rapporte à une époque extrêmement rapprochée de celle de mon voyage, et que , de 1819 à 1824 , il est impossible qu’il y ait eu aucun changement notable.