DU RIO DE S. FRANCISCO. 117 pauvres. Nuit et jour, ils avaient prodigué des soins à mes malades, ils m’en avaient donné à moi-même; ils avaient blanchi mon linge, ils n’avaient cessé de me faire de petits cadeaux, et pendant un mois ils s’étaient privés pour nous d’une partie de leur maison. Si je n’avais pas eu à me louer des habitants de S. Joâo d’El Rei (1), du moins j’avais re trouvé chez ces bonnes gens l’aimable hospitalité qui m’avait fait vouer aux Mineiros une reconnaissance éter nelle. (1) Voyez mon Voyage dans le district des Diamants, etc., vol. I.