Zweiter Theil. Ouvertüre zu »Oberon« von C. M. von Weber. Recitativ und Arie aus »Orpheus« von Gluck, gesungen von Frau Viardot-Garcia. (Nachcomponirt für die erste Pariser Auffüh rung am 2. Aug. 1774.) Qu’entends-je? qu’a-t-il dit? Euridice vivra ! mon Euridice ! Un dieu clement, un dieu propice Me la rendra! Mais quoi! je ne pourrai, la rendant ä la vie, La presser sur mon sein ? ö mon amie, Quelle faveur et quel ordre inhumain ! Je prevois ses soupcons, je prevois ma terreur, Et la seule pensee D’une epreuve insensee D’efiroi glace mon coeur. Oui, je pourrai! je le veux, je le jure! Amour, amour, j’espere en toi Dans les maux que j’endure. Douter de ton bienfait, serait te faire injure. C’en est fait, dieux puissants, J’accepte votre loi. Amour, viens rendre ä mon äme Ta plus ardente flamme. Pour celle qui m’enflamme Je vais braver le trepas. L’enfer envain nous separe, Les monstres du tartare Ne m’epouvantent pas, Pour celle qui m’enflamme Je brave le trepas. Solostücke für das Pianoforte, vorgetragen von Fräulein von Weiss. a) Novellette (Nr. 1) von 1L Schumann. b) Etüde (Gesdur) von Chopin. Altfranzösische Volkslieder mit Pianoforte, gesungen von Frau Viardot- Garcia. a) Musette. A l’ombre d’un ormeau Lisette Filait du lin tranquillement. , Son berger, la trouvant seulette, S’en vint lui disant tendrement: Brünette, mes amours, Languirai-je toujours? Si quelquefois sur ma musette Je me plains de ta cruaute, C’est des plaintes qu’au vent je jette, Tu ne m’as jamais ecoute. Brünette, mes amours, Languirai-je toujours ?