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Fünfzehntes ,71 >| ' ■ . ' I ABOBEMEVMOMERT im Saale des Gewandhauses zu Leipzig. Donnerstag, den 31. Januar 1856. H flBV aI »i-o:->o:sw<co-<« “9fj f iltoxiiioll nov ^jnooiß r b 'lieilH \l., rnqO lob «in: Boi Erster TheU. Symphonie (Nr. 4, Dmoll), Introduction, Allegro, Romanze, Scherzo und Finale in einem Satze, von Robert Schumann. Scene aus der Oper: „Die Vestalin“ von G. Spontini, gesun gen von Fräulein Valentine Bianchi. jlrioso. Toi que j’implore avec effroi, Redoulable deesse, Que ta malheureuse prßtresse Obtienne gräce devant toiI Tu vois mes mortelles alarmes, Mon trouble, mes combats, Mes remords , ma douleur; Laisse-toi flechir par mes larmes, Bloufle ma luneste ardeur! .BtMuis. .oJßsxuqun nasvoig 1 11 A Recitativ. Sur cet autel sacre que ma douleur assi&ge, Je porte en fremissant une main sacrilege; Mon aspect odieux Pait palir la flamme Immortelle, Vesta ne recjoit point mes voeux, Et je sens que son bras me repousse loin d’elle. Eh bien 1 fils de Venus , ä tes voeux je me rends. Oü vais-je? o ciel! et quel delire S’est empare de tous mes sens? Un pouvoir invincible a ma perte conspire, 11 m’entraine, il me presse . . . Arrfete ! . . . il en est temps, La mort est sous tes pas, la foudre est sur ta töte Licinius est lä . . . quoi, je puis le revoir, L’entendre . . . lui parier .... et la crainte m’arrete? Non ! je n’hesite plus! L’amour, le desespoir usurpent daus mon coeur Une entiöre puissance.