f .. S T Ü O 3 S jes al;ni3r.5 ; mais aucun qui n’et't c-- t'S™ L '^^l rL • aJX qiu soîr sensible à ce plaisir. S e a 5 °ff con,en ; ÿ raM J »" s son / - ?mme r S ? fforce toujours de TovJVto™*- v- VrCSSQ exa,te rame * va ;:: S ' e ; ^ v es re!l s ,eil f s chez les sati- o«->, et nrâme chez les peuples poli- à perdre h^ * ferin * • «Æn boit venté m "r : ° n commenc e , à la sw;- p p. ,eûner ; mais on finit r ar humait " Lhon)me rer >once à la raison lui mai ne pour exCiter en , ■ d tions divines T s* a~ i>* cmo ‘viucs. l eiret de J ivresse ect- Ao ihf Vo a u7 Jr an V e sein . de ^elqoe divi- chantX i entend ez toujours les buveurs monT, CClU,S » Man ’ Vén » s on l’A mour. Il est encore très-remarquable mie yi unité lorsqu elle est dans son état nn- fc r £r « De r Odorat. Les plaisirs de I’odnraf i; Prç i p. 1 ou 9 rat sont particu- point If. ' me ’• C3r ,e n V comprends quelles il emana “° ns olfectique. par îes- q elles il juge de ses alimens , e t qui inin am ÏÏ nmunes av f 'a plupart des DarfiiTis „ ?"l me Seul est sen! ' ble ™» parnims , et il s en sert pour donner plus d’énergie