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U .Études inarbre, mais elle est vivante ; elle n’est pas Grecque , mais Françoise ; elle n’est pas consolée , mais méprisée de ses corn- P gnes. Allez sous son pauvre toît, sou- agv.r sa misere. Faites le bien dans cette vie, qm passe comme un torrent. Faites le bien , non par ostentation et par des mains étrangères, mais pour le ciel et par vous-meme. Le fruit de la vertu perd ’ 2? a 1 nd . 11 est cuei!,i P ar la main, autrui. Ait. si vous-même la soulagez' c ans ses peines ; si , p 3r votre compas- Janh V ° US relevez à ses propres ré- frnm \. V ° US VerreZ à vos bienfaits son. LririPc ° Ug, L’ Ses ^ eilx se emplir de sanT n-,îf S VreS COnvuliives se mouvoir ‘ P'' er , et son cœur , long-tems oppresse par la honte , se rouvrir ^ lu P en £ nt I ’ offi . ce - Ff appé de cette singularité, il lui réoond' 3 * CaUSC 3UX autres P a )'sannes , qui dë?a P rréfér r T t | q,,e Cet0,lsans doilte » 'ûlonté pêchoit dentier 3 ^ ^ 9 ciii elles I en avaient cou» vent pressee inutilement. Enfin , voulant en savoir la raison , il s’adressa A h fille même D O a n bu a d C0 ell d e Uite,Ui si ^aordmaire.’ Uaturd, elle parut troublée ; nuis s’étant bientôt rassurée, eUç lui dit : «Monsieur’, j’avoi* » un amant pour lequel j’eus une faiblesse • je » £ï,I erot "’ “ n “ n » SÎ’ mo “ r "' "“ oir '!»“»«. J'a » Z i 3“ >nri, ICII , r«:::ZLX™. ~, m