} 6 Etudes hommes, c’est qu’ils mettent le senti ment de leur hn dans leur mort, et celui de infini dans leur vie. Mortels , si vous irfeiiT 1 * eu - reiIX et mourir contens , ne dénaturez point vos loix ; considérez 2nilmit m T! t0 K Ute! ’ e V 1eines de l’animal nmssent, les besoins du corps , les mala dies , les persécutions, les calomnies, les esclavages de toutes les sortes, l es rudes combats des passions avec soilmême et avec les autres. Considérez qu’à I a mort toutes les jouissances d’un être moral commencent les récompenses des vertus et des moindres actes de justice et d’hu manité ,_ méprisés ou dédaignés du mon de, mais qui nous ont en quelque.sorte rapprochés sur la terre de l’Être juste et d r UX in -, tincts se rélini ssent dans le même lieu , ,] s nous donnent les 4^. £ ranc *s plaisirs dont nous soyons ca- pables ; car alors nos deux natures, si IiTnouS !]] app Y ’ j° uissent à la fois lij. Nous allons présenter un léger en- (0 On peut rapporter k ces deux instincts toutes les sensations de la vie, qui semblent sou vent se contredire. Par exemple, si l'habitude i»l veau té nous paroissent agréables, c’est que 1 habitude nous rassure sur nos relations physiques qui sont toujours les mêmes, et la nouveauté promet de nouveaux points de vue i notre instinct divin, qui veut toujours étendre les jouissances. 1 çlcI *vre