? 65 J Je l’intersection, problème dont la sa* lution n’est rien moius que facile. En appliquant ainsi successivement ce problème à chaque changement de direction et d’inclinaison dans la pente delà montagne, on parvient à tracer l’af fleurement d’une couche ou d’un filon dans une étendue de terrain donnée, mais il est aisé de sentir combien ce moyen est pénible et long , l’inclinaison et la di rection de la pente d’une montagne va riant très souvent dans de petites dis tances. Il faut , pour ainsi dire , un tra-î vail et une patience d’IIercule pour tracer l'affleurement an jour sur une étendue un peu considérable. Ce problème peut se résoudre avec une facilité étonnante au moyen d’un instrument que je nommerai Stratotpraphe. C’est une espèce de planchette que l’on incline et que l’on dirige comme la cou che dont on cherche l'affleurement. Si l’on se place de manière à se trouver dans le prolongement de lu couche, et