C 13 ; - ; Si l’on trouve des couches verticale^ et sur lesquelles il ny~ a aucun doute quelconque , quelque sceptique que 1 on soit qu’elles n’ayciit été autrefois dans une situation horizontale , et si le local ne présente rien qui puisse favoriser l’i dée d’un affaissement , pourra-t-ou se refuser d’admettre quelles ayent été redressées. C’est là le cas des fameux Poudingues de Valorsine. Le célèbre de Saussure a su tirer; parti du fait que les Poudingues de \x- qonner que les couches put été relevées par une force souterraine. C’est ainsi que sur la droite du rocher que les couches arquées de.la'cascadc iX'Ar- penaz forment , il y a un vide où il manque à-peu-près ce qu’il faudrait pour former la hau teur de la cascade, et Mr. de Saussure a observé dans plus d’une montagne des couches ainsi re troussées , auprès desquelles on voit le vide qu’elles paraissent avoir laissé en se repliant sur elles-mêmes, et il cite à cc sujet plusieurs exem ples I § 471 , mais il laisse en suspens si on doit avoir recours à ces agens presque surnatu rels pour l’expliquer, ibid. § 47a-