des Infiniment Petits. I. Part: 18 r Si l’on veut réfoudre cette queflion en général 3 de quelque degré que puiffent être les paraboles BFD, CDG ; on fe fervira de la Méthode expliquée dans la Section huitième, en cette forte. Nommant AE, u ; EF, zj> AB, x; l’on aura » — x m x« n = s^ n-4 " n qui exprime en général la nature de la parabole BF, dont la différence donne ( en traitant a & comme confiantes , Ôc x comme varia bles ( — m x a — x m 1 dx x jf n -4- nx n 'dx x a — x m — o > & divifant para—x™ 'dxxx' , il vient —mx-^na — nx —o : d’où l’on tire x = - & partant « — x = te. Mettant donc ces valeurs à la place de a — x & de x dans l’équation générale ; & faifant ( pour abréger ) m+n = r , l’on aura D’où l’on voit que la ligne AFG eft toujours droite, lî compofées que puiffent être les paraboles, n’y ayant que la raifon de AE à FF qui change. On voit clairement par ce que Ion vient et expliquer dans cette Sèïlion, de quelle manière l’on doit fe fervir de la Mé thode de Ai rs Defcartes & Hudde pour ré foudre ces fortes de que fions lorfque les Courbes font Géométriques. Mais Vonvoit aujji en même temps quelle, t>-** *r* m par%vte'~ï celle de M. Leibnits, qu^fai taché d'expliquer àfond dans ce Traité', puifque cette derniere donne des rèfolutions générales, où l'au tre n en fournit que de particulières, quelle s'étend aux lignes' tran fendantes, & qu'il nefi point néceflaire et oter les incom- menfurables : ce qui fer oit très fouvent impraticable. fin. a. p A,R IS, de l'Imprimerie de J. Qjjiiaàu, lmp. Jur,lib.derUjiiv.