DES Infiniment Petits. 1. Tan. 177 Corollaire. 207*1 L e ft évident qu’on peut confidérer le point baifant p IGf> if%,. comme * la réunion d’un point touchant avec un point iy^. d’interféclion du même cercle; ou bien comme * la réunion 20 j. de deux points touchans de deux cercles diftérens ôc con- *airt.2oq. Centriques : de même que le point d’inflexion peut être re- gardé*comme la réunion d’un point touchant avec un point *d.rt.iç6. d’interfé&ion de la même droite, ou * comme la réunion de deux points touchans de deux différentes droites qui partent d’un même point. Proposition VI. Problème. 208.T ROUVER une équation qui exprime la nature de FiG.iyy la caufitque AFGK,formée dans le quart de cercle CAMNB, parles rayons réfléchis MH, NL , &c. dont les incident PM, <QN, &C. font parallèles à CB. Je remarque, i°. Que fi l’on prolonge les rayons réflé chis MF, NG, qui touchent la cauftique en F, G, jufqu’à ce qu’ils rencontrent le rayon CB aux points H, L ; l’on aura MH égale à CH, ôc NL égale à CL. Car l’angle CMH = CMP — Me H ; & de même l’angle CNL;=CNQ^ — NCZ. 2°. Que d’un point d£>««• * * a cauftique AFK, 1 on ne peut mener cju une feule droite 2\LH qui loit égalé à CH y au lieu que d’un point donné D entre le quart de cercle AMB ôcla cauftique AFK, l’on peut mener deux lignes MH, NL telles que MH = CH ôc NL = CL. Car on ne peut mener du point F qu’une feule tangente MH ; au lieu que du point D, on en peut mener deux MH, NL. Ceci bien entendu, Soit propofé de mener d’un point donné D la droite MH, en forte qu elle foit égale à la partie CH, qu’elle détermine furie rayon CB. Ayant mené MF, DO parallèles à CB, &MS parallèle