des Infiniment Petits. I. Part. Yy? la circonférence du cercle mobile, il arrive neceflairèment l’un des trois cas fuivans. Car menant la tangente MT, le point touchant G tombera i°. Sur l’arc TB, comme Ton a fuppofé dans la figure en faifant le calcul ; & alors MC{ ) épatera toujours MG (m). 2°. Sur le '1, 1 h *•/-,/ xmn-ir-xbmm . point touchant 2" ; ôd on aura pour lors MC ( ) = m ,puifque IG ( n ) s’évanoiiit. 3 Sur l’arc T2I; & alors la valeur de Gl ( » ) devenant négative de pofitive quelle étoit, Ion aura de forte que MC fera moindre que MG (m) ', '&C toujours pofitif. D’où il eft évident que dans tous ces cas* la valeur, du rayon Me de la dévelope'è eft toujours pofitive. Corollaire III,- - . . , f 8 . 9 ' " ’ 180. orsqu e le point décrivant M tombe au de- Fig. 13$, dans de la circonfe'rence du cercle mobile, on a toujours ' itunm ibmm .. ■ MC= x.un+ibm—hn ’ & 11 peut arriver que l?n furpaffe 2am-+- ibm> & qu’ainfi la valeur du rayon Me de la dé veloppe foit négative : d’où l’on voit que lorfqu’elle cefle d etre pofitive pour devenir négative * comme il arrive *lorfque le point M devient un point d’infléxion, il faut néceflairement alorsque^B^^w-i-.a^i ^ r « a nt que xarrmi -4— bmtn r* t> « MI x MG ( m» —■^ 1 * ° r “ 1 on nomme la donnée kM, c t l’on aura par la propriété du cercle Ml x MG ( - vr,m M- nm ) __ 35 ju x 2ldN(aœ—cc ) ce qui donne l’in connue MG (m) — . Donc fi l’on décrit du ' ' i.t -+~£ I point donné M comme centre , &: de l’intervalle MG — , un cercle ; il coupera le cercle mobile en lit -t-V un pointe?, où il touchera le cercle immobile qui lui fert de bafe , lorfque le point décrivant ^/tomberafur le point d’infléxion F. Vij