xij i> R E F A C R du temps à ceux qui lès font, de à ceux qui lès lifent. Auffi n'ai - je ajouté les Problèmes de la Seétion neuvième, que parcequ’ils paf- fent pour curieux, de qu'ils font très univer- fiels. Dans la dixième Seétion ce ne font en- core que des Méthodes que le calcul des dif férences donne a la maniéré de M rs Defcartes de Hudde y & fi elles font fi limitées, on voit par toutes les précédentes que ce n'eft pas un défautdececalcul, mais delà Méthode Car- téfienne à laquelle on l’affujettit. Au contraire rien ne prouve mieux l'ufage immenfe de ce calcul, que toute cette variété de Méthodes 5 & pour peu d’attention qu'on y falfe , l'on verra qu'il tire tout ce qu'on peut tirer de celle de M s J>cfc^r(es c>eMudde , de que la preuve univerfelle qu'il donne de l'ufàge qu'on y fait des progreffions arithmétiques,' ne laifie plus rien à fouhaiter pour l’infoilli- bilité de cette derniere Méthode. J’avois deffein d'y ajouter encore une Seétion pour faire fentir aufïï le merveilleux ufage de ce calcul dans la Phyfique, jufqu a quel point de précifion il la peut porter, de combien les Mécaniques en peuvent retirer d utilité. Mais une maladie m'en a empêché :