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DE LA SUISSE. *3; RouJJeau , à genoux devant le tombeau de Ton Bienfai teur. Les particuliers qui l’ont prife fur le fait, lui ayant demandé pourquoi elle étoit à genoux ? hélas ! dit - elle , je pleure SC je prie. Mais ma bonne , M. Roufleau n’étoit point Catholique. Il nia fait du bien, je pleure SC je prie. Ce fut avec toutes les peines du monde qu’on ar racha de la tombe cette bonne femme qui fondoit en larmes. Qu’on nous permette de placer à la fin de cet article ces deux vers latins de M. l’abbé Bofcovich , par les quels il a voulu apprécier le ftyle de RouJJeau SC celui de Vol taire , l’un ayant la force SI Hercule, 6c l’autre brillant par les éclairs du feu SI Apollon, Rouiïoas Herculeo forcis fermone triumphatj Voltaire Apollineo fulgurat igné micans. Schmid ( Cafpar ) , d’une noble famille de Zurich , Capitaine au fervice de Savoie dans le régiment fuiffe de Ratio, mort en 17 y 8 , a laiffé en latin le Fantaffin fuiffe, 1745 , in-8° , & un Traité des Fortifications, 1747 , à Zurich , in-8°. Ces deux Ouvrages font écrits en allemand. Schmid ( Sébaftien ) , de Zurich , Mini lire du Haut- JVinterthour en iytfo , donna au Public, en 1579 , à Bâle, plufieurs Traités d’Aftronomie, de Géométrie , de Phyfi* que, ôcc. ; entr’autres un ouvrage intitulé, Supputatio Ho- rologiorum folarium arithmetica, in-folio. Spleiff ( Etienne ), de Schaffhaufen , ProfelTeur de Lo~ gique & de Mathématiques en cette ville, en 1671 } a publié plufieurs Ouvrages de Géographie & d’Aftronomie* Son fils Jean-Jacques Spleiff, aulfi ProfelTeur de Mathé- Gg 2
