MUSEUM DE PIORENCE, 5* MASQUE COMIQUE D‘UN VIEILLARD, Planche XIII. On peut voir ce que nous avons dit fur les difFérens Mafques des anciens N* III. & fur leurs ufages divers , tome l> planche LXVIII & fuiv. : nous nous contenterons d’obferver que c’eft un Mafque comique de vieillard, & qu’il eft gravé fur la pierre d’une bague qui eft un jafpe. Quant à l’infcription q. veriani suavis qui Le lit fur cette pierre, Gori remarque que dans les infcriptions connues, on ne trouve aucune mention de la famille/'"îriana. Planche XIV. LA LYRE CÉLESTE. Planche XIV. Sur une fardoïne s’offre ici à nos regards la Lyre célefte, avec les lignes N° I. de Mars & de Vénus : elle n’a que trois cordes. L’infcription que l’on voit autour de la Lyre, indique vraifemblablement le nom du perfonnage qui la portoit à fon doigt, & Gori penfe que les lettres qui la compofent p. clod pomp. pourroient bien fe lire : Publïi Clodii Pompiniani. Sur le revers de cette pierre eft gravée une tête d’Apollon couronné de laurier. GUERRIER. Planche XIV. La fardoïne, n° Il de cette planche, repréfente la tête d’un Guerrier, N° IL couverte d’un cafque portant pour infeription le mot chilo. Cette tête nous eft entièrement inconnue. TÊTE DE JEUNE HOMME. Planche XIV. Nous ne connoifïons pas davantage quel eft le jeune homme que N° III, repréfente ce jafpe rouge , n°III de cette planche. Sa tête offre un mélange agréable de douceur 8c de gravité. Gori croit qu’on doit lire callistheni à l’infcription où l’on voit ce mot ainli écrit : calisteni. Fin des explications du quatrième Volume. ai v'j erçr.rm ts na . noq