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Traité De Construction En Poteries Et Fer Application Générale du Fer, de la Fonte, de la Tôle et des Poteries
- Titel
- Traité De Construction En Poteries Et Fer
- Untertitel
- A L'Usage Des Batiments Civils, Industriels Et Militaires; Suivi Du Recueil De Machines Appropriées A L'Art De Batir; Dédié A Tous Les Constructeurs; avec 66 planchess gravées par Hibon
- Autor
- Eck, Charles Louis Gustave
- Verleger
- Carilian-Goeury et Dalmont
- Erscheinungsort
- Paris
- Bandzählung
- 1
- Erscheinungsdatum
- 1841
- Umfang
- [5] Bl., 72 S., 51 Bl., 21 S., 15 Bl.
- Sprache
- Französisch
- Signatur
- 2 - 0835
- Vorlage
- Hochschule für Bildende Künste Dresden
- Digitalisat
- Hochschule für Bildende Künste Dresden
- Digitalisat
- SLUB Dresden
- Lizenz-/Rechtehinweis
- Public Domain Mark 1.0
- URN
- urn:nbn:de:bsz:14-db-id4927178502
- PURL
- http://digital.slub-dresden.de/id492717850
- OAI-Identifier
- oai:de:slub-dresden:db:id-492717850
- SLUB-Katalog (PPN)
- 492717850
- Sammlungen
- LDP: Historischer Bestand der Bibliothek der HfBK Dresden
- Projekt: Historischer Bestand der Bibliothek der HfBK Dresden
- Ausgabe
- 2me tirage
- Strukturtyp
- Band
- Parlamentsperiode
- -
- Wahlperiode
- -
- Titel
- Chapitre Premier. Notations Générales
- Digitalisat
- SLUB Dresden
- Strukturtyp
- Kapitel
- Parlamentsperiode
- -
- Wahlperiode
- -
-
Mehrbändiges Werk
Application Générale Du Fer, De La Fonte, De La Tôle Et ...
-
Band
Traité De Construction En Poteries Et Fer
-
- Einband Einband -
- Titelblatt Titelblatt -
- Kapitel Dédicace -
- Kapitel Rapport Sur un traité de construction en poteries et ... -
- Kapitel A Messieurs Les Architectes, Officiers Du Génie, Et ... -
- Kapitel Chapitre Premier. Notations Générales 1
- Kapitel Chapitre II. De La Fabrication Des Poteries 12
- Kapitel Chapitre III. Des Voutes 18
- Kapitel Chapitre IV. Des Planchers En Général Et Des Parties ... 24
- Kapitel Chapitre V. Des Poutres Armées Ou Maitresses Poutres, ... 37
- Kapitel Chapitre VI. Des Murs De Refend Et Des Cloisons En ... 39
- Kapitel Chapitre VII. Des Combles 42
- Kapitel Chapitre VIII. Des Escaliers 57
- Kapitel Chapitre IX. De Quelques Usages Particuliers Des ... 62
- Inhaltsverzeichnis Inhaltsverzeichnis 67
- Kapitel Explication Des Planches 69
- Abbildung Plan général de la Fabrique de Poteries, Briques, &. &. ... 1
- Abbildung Fabrication des Globes ou Pots creux 2
- Abbildung Mode d'exécution pour les Voûtes et les Planchers en ... 3
- Abbildung Chambre des Députés ; Entrepôt général des Vins &. &. 4
- Abbildung Chambre des Députés 5
- Abbildung Palais Royal 6
- Abbildung Rue de Beaune, No. 1 7
- Abbildung Palais de Versailles 8
- Abbildung Palais des Tuileries 9
- Abbildung Palais des Tuileries 10
- Abbildung Constructions diverses 11
- Abbildung Edifice sur le Quai d'Orsay 12
- Abbildung Charpente en fer pour une Galerie dans un Monument ... 13
- Abbildung Chambre des Députés 14
- Abbildung Manutention des Vivres de la Guerre 15
- Abbildung Palais Royal 16
- Abbildung Manutention des Vivres de la Guerre 17
- Abbildung Maisons particuliéres 18
- Abbildung Des Poutres principales ou Maîtresses Poutres 19
- Abbildung Des Poitrails 20
- Abbildung Maisons particuliéres 21
- Abbildung Combles divers 22
- Abbildung Théâtre de l'Ambigu-Comique 23
- Abbildung Palais des Beaux Arts 24
- Abbildung Palais Royal 25
- Abbildung Palais Royal 26
- Abbildung Vue perspective de l'intérieur du Magasin de Machines ... 27
- Abbildung Théâtre de l'Ambigu-Comique 28
- Abbildung Théâtre Ventadour 29
- Abbildung Théâtre des Nouveautés 30
- Abbildung Théâtre Français construit en 1786 par Mr. Louis, ... 31
- Abbildung Dépôt des Archives de la Cour des Comptes 32
- Abbildung Palais de la Bourse 33
- Abbildung Palais de la Bourse 34
- Abbildung Prison Modêle 35
- Abbildung Halle aux Bleds de Paris 36
- Abbildung Palais de Versailles 37
- Abbildung Chambre des Députés 38
- Abbildung Des Escaliers en poteries et fer 39
- Abbildung Des Escaliers 40
- Abbildung Des Escaliers 41
- Abbildung Des Escaliers en poteries et fer 42
- Abbildung Des Escaliers 43
- Abbildung Serres Chaudes 44
- Abbildung Manutention des Vivres de la Guerre 45
- Abbildung Théâtre Favart 46
- Abbildung Ministère des Finances ; Maison particulière 47
- Abbildung Marché de la Madeleine 48
- Abbildung Pont Couvert de l'Hôtel-Dieu ; Pont Couvert de la ... 49
- Abbildung Pont de Tréguier, Dépt. du Finistere. MM. de Verges et ... 50
- Abbildung Théâtre Favart 51
- Beigefügtes Werk Recueil De Machines Appropriées A L'Art De Batir Et A ... 1
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Band
Traité De Construction En Poteries Et Fer
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> (Cfff fr S truction, suivant cette méthode, des planchers des nou veaux théâtres; tels sont ceux de l’Opéra-Comique, rue Ventadour et place de la Bourse ; du Gymnase entière ment réparé en 1830, et du Palais-Royal. A l'égard de ce dernier théâtre, il existe une parti cularité qui vient précisément à l’appui de ce qui a été dit plus haut sur la solidité des constructions en Po teries. Conformément à ce qui avait été prescrit par l’autorité, l'architecte, M. de Guerchy, obligé d'isoler cette salle des propriétés voisines, avait à construire un mur séparatif suivant toute la largeur et la hau teur de l’édifice. A cet effet, pour épargner aux action naires la dépense considérable qu'aurait occasionée un mur en moellon plein, cet architecte ne trouva rien de mieux pour se conformer à ce qu’exigeait l’autorité, et pour atteindre son but sous le rapport de l'économie, que de le construire en Poteries. Il les plaça, non sur leur tête comme pour les voûtes, mais horizonta lement, de sorte que par la superposition de tous ces petits cylindres, la résistance se trouvait multipliée à l'infini. Les Poteries employées pour ce mur de sépa ration étaient de dimension moyenne, c’est-à-dire de 0,21 cent, de hauteur sur 0,136 mill. de diamètre, et revêtues des deux côtés d’un enduit en plâtre de 0,027 millim. d'épaisseur. Que l'on considère que ce mur comporte une lon gueur de plus de 11 mètres sur une hauteur de 21 mètres, que plusieurs cheminées ont été adossées à son parement intérieur, sans que, depuis son origine, le plus léger déchirement, bouclure ou lézarde se soient manifestés (bien que l’on ait pratiqué après coup, en divers points de la surface, un grand nombre d’ouver tures), et l’on reconnaîtra que c’est un des beaux résul tats obtenus dans ce genre de construction. Les combles de ce théâtre ont été construits en ma tériaux de même nature, de 0,108 millim. de hauteur sur 0,06 cent, de diamètre : les différentes tra vées divisées par des fermes en fer ont remplacé les chevrons, pannes et arbalétriers en bois; on a ainsi remédié aux avaries inévitables dans les combles en charpente les mieux établis. En effet, ces bois reçoivent le plus souvent une couverture en ardoises, qui, en raison de son peu d’épaisseur, ne présente aucun obstacle à l’ardeur du soleil, et qui, au contraire, en raison de sa couleur foncée , en concentre les rayons. Le calorique pénètre ces combles d’une manière continue et progressive ; car l’absorption s'en fait avec beaucoup de rapidité, tandis que le refroidissement est extrêmement lent ; il en résulte que les bois s'échauffent, se détériorent, et qu’à la longue les assemblages se séparent. Dans le système que je développe, rien de semblable à craindre : la chaleur est sans effet sur des corps, qui pour être amenés à un degré de cuisson convenable, ont été soumis à l’action d’une température extrême ment élevée. Bien plus, quand une construction en Poteries joint immédiatement des matières combusti bles, telles que les bois qui, dans les anciens édifices, f font partie intégrante des bâtimens, les Poteries devien nent, pour ces corps, un rempart contre l'incendie; l’air froid renfermé dans chacune d'elle offre un obstacle insurmontable à la chaleur la plus intense, et détruit, par cela même, toute communication. Et l’on ne peut supposer que l’action continue et pro longée de la chaleur puisse détériorer les poteries ; elles sont essentiellement indécomposables et indes tructibles au feu. L'exemple suivant en est une preuve. Le Génie militaire fit construire, en 1833, dans les anciens bâtimens de la manutention des vivres de la guerre, et sur les dessins de M. Lespinasse, garde du génie, qui en dirigea lui-même l’exécution, la voûte supérieure d’un four de nouvelle invention en Po teries et plâtre ( voyez pl. 45 ). Malgré l'excès de la température à laquelle ce four était soumis journelle ment, on pourrait dire, sans interruption, aucune des poteries ne se brisa, et s’il se manifesta, environ dix mois après sa construction, un affaissement qui en nécessita la démolition, il fut reconnu qu’il ne prove nait pas de la rupture des poteries qui toutes furent retrouvées dans un état parfait fie conservation, mais bien de la décomposition du plâtre qui avait servi à les unir. Les joints en plâtre se trouvant détruits , il avait dû nécessairement en résulter désunion dans l’assemblage des Poteries, et enfin affaissement de toute la masse. J’ai voulu me rendre compte non seulement de l'in- $ destructibilité des Poteries par le feu, mais encore de leur imperméabilité plus ou moins grande à la chaleur. A cet effet, je fis, en 1833, une expérience qui démon tra de la manière la plus évidente cette propriété et en même temps la résistance infinie de ce genre de construction. Au dessus d’un plancher en Poteries de 16 mètres superficiels que je venais de faire construire, je fis établir à 2 mètres en contre-bas du plafond une espèce de gril en fer. J’y fis disposer un bûcher com posé de débris de bois résineux et par conséquent très combustible. Le plancher avait été préalablement chargé extraordinairement de blocs de pierre chacun du poids moyen de 225 kilog. , et la somme de toutes ces masses réparties sur différens points de la sur face du plancher équivalait à 3540 kilog. Entre ces blocs j’avais fait étendre des feuilles de papier qui recouvraient les parties apparentes, afin d’apprécier jusqu’à quel point se communiquerait la chaleur à tra vers le plancher. On mit le feu au bûcher ; au bout d’une demi-heure l’enduit du plafond se fendit sur toute la surface, il se calcina et tomba par petites por tions. L’opération dura deux heures, pendant les quelles le feu fut entretenu très vif, car long-temps après il s’en dégageait une chaleur considérable. Mal gré l’élévation de la température, le plancher qui au rait dû souffrir, et de la surcharge extraordinaire qu’il supportait, et de la désunion des Poteries dont les joints en plâtre étaient détruits, ne ressentit aucun dommage. Des barres verticales, qui devaient servir de témoins, avaient été dressées touchant presque
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