67 nee les cloches des cinquante-six e'glises grecques de cette capitale, qui annuncent quelque exercice de pie'te. Les pretres russes ne pouvant se marier qu’nne fois, ils traitent leurs femmes avec beaucoup d’ e'gards. La mendicite est peu commune parmi les Russes, parce qiie leurs maitres ont, non seulenient le soin de les accoutumer au travail des l’en- fance, rnais encore de leur procurer les occasions de gagner leur vie. 11 n’y a guere que les pauvres vieillards aveugles ou infxrmes, qui soient obüge's de demander la charite', et parmi les pauvres qu’on trowve ä St. Pe'- tersbourc, la plupart sont ou Finnois ou des mauvais sujets e'irangers. Les Russes sont tres «charitables envers les pauvres; et les gens mente du commun re'pandent indiffe'remment leurs bienfaits sur les e'irangers Gomme sur leurs compatriotes