de broderies en fin plâtre ajouré dont les Orientaux usent avec un goût et une adresse si remarquables. Les vitres des fenêtres ont été remplacées par des espèces d’écrans en treillis glissant dans les rainures et que l’on élève selon le besoin ou le caprice ; c’est une menuiserie du genre de celle des moucliarabiés, mais qui, dans les salles donnant sur les jardins du harem, n’a pas besoin de la fixité de clôture des fenêtres donnant sur la rue. Enfin, cette pièce est garnie de tapis épais étendus partout et remplaçant, au milieu, le bassin avec la fontaine jaillis sante qui occupe le salamlik original. Les colorations ont de même le caractère d’une restauration, et c’est également sur les données de M. Paul Bénard que Stéphane Baron en a fait l’aquerelle. Document foncier photographique.