Bien entendu, il ne s’agit pas ici de faire remonter à une haute antiquité des formules de détail ayant le caractère de cet art arabe, dérivé du grec, du byzantin, dont la modernité relative est trop connue pour qu’il y ait à insister. Ce que l’on peut toutefois oberver au sujet de ces formules, c’est que, dans l’ornemen tation orfévrée des bijoux orientaux, elles tiennent beaucoup moins de place que dans les autres industries. Voir pour le texte : Mycènes, par M. Henry Schlieman, Hachette, Paris, 1879; et principalement les Costumes populaires de la Turquie, décrits par llamdy-bey et Marie de Launay; Constantinople, 1873.