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moucherons mechants, Victor Hugo. la douce voix, dune. c) Adieux de l’hotesse Arabe von Bizet. Puisque rien ne t’arrete en cet heureux pays, Ni l’ombre du palmier, ni le jaune mais, Ni le repos, ni l’abondance, Ni de voir ä ta voix battre le jeune sein De nos soeurs dont, les soirs, le tournoyant essaim Couronne un coteau de sa danse, Adieu, beau voyageur ! helas! adieu ! Oh! Que n’es-tu de ceux Qui donnent pour limite ä leurs pieds paresseux Leur toit de branches ou de toiles ! Qui, reveurs. sans en faire, ecoutent les recits, Et souhaitent le soir, devant leur porte assis, De s’en aller dans les dtoiles! Helas ! adieu 1 adieu beau voyageur 1 Si tu l’avais voulu, peut-etre une de nous, Jeune hommet’ eüt aime te servi ä genoux; Dans nos huttes toujours ouvertes Elle eut fait, en bergant ton sommeil de ses chants, Pour chasser de ton front les Un eventail de feuilles vertes. Si tu ne reviens pas, Songe un peu quelquefois Aux Alles du dösert, soeurs ä Qui dansent pieds nus sur la O beau jeune homme blanc, bei oiseau passager, Souviens-toi, car peut-etre, 6 rapide etranger, Ton Souvenir reste ä plus d’une 1 Helas! adieu! adieu! bei etranger! b) Ariette aus ,,Zerline“ von Auber. Que rien ne vous inquiete, par mes soins j’ai tont prevu! Ce soir, ce bal, cette fete, demain l’hymen convenu! Mon fröre, le Roi lui-meme, toujours cede ä mes voeux; II sait quel est mon Systeme, je veux, je veux ce que je veux! II vous accorde une gräce que vous ne devrez qu’ä moi! Vous regnerez ä sa place, il vous nomme vice-Roi! Le Roi, mon fröre, qui m’aime, toujours cede ä mes voeux! II sait quel est mon Systeme, je veux, je veux ce que je veux. Pauvre Jaques, quand etc. etc. Pauvre Jaques, etc. Quand le soleil brille sur nos gueröts, Je ne puis souffrir sa lumiöre, Et quand je suis ä l’ombre des forets, J’accuse la nature entiöre. Französische Lieder, gesungen von Frau Schnitzen von Asten. • a) Pauvre Jaques von Marie Antoinette. Pauvre Jaques, quand j’ötais pres de toi, Je ne sentais pas ma misöre, Mais ä präsent, que tu vis loin de moi, Je manque de tout sur la terre. Quand tu venais partager mes travaux, Je trouvais ma täche legere; T’en souviens-tu ? tous les jours etaient beaux; Qui nous rendra ce temps prospöre!