l’estomac jusqu’au bas du ventre, et en passent une extrémité entre les cuisses de manière à se couvrir les parties naturelles; ils repassent ce bout dans l’un des tours pour le maintenir, de sorte qu’ils peuvent facilement le détacher pour satisfaire à leurs besoins. Les femmes ont des naguas ou jupons qui pendent de la ceinture, et leur tombent jus qu’aux genoux. Celles d’un rang élevé en ont de plus fines qui descendent jusqu’à la cheville. Elles se couvrent la poitrine avec une espece de fichu en étoffe de coton. Les hommes uri nent accroupis, et les femmes debout, partout où le besoin les en prend. Les deux sexes por tent aux pieds des espèces de sandales en peaux de cerfs, qu’ils nomment CHtaraj : et ils les attachent avec une corde en coton qui passe entre les doigts du pied et se noue autour de la cheville. Les femmes portent des colliers au cou. Cette nation est belliqueuse, rusée et perfide à la guerre. Les hommes construisent, les mai-