174 HISTOIRE DIJ NICARAGUA, qui roulaient à chaque instant, et qu’en divers endroits, il sortait des rochers des exhalai sons chaudes et métalliques qui répandaient une odeur de soufre ; mais qu’on pouvait fa cilement éviter tous ces inconvénients, en se garantissant la figure et les yeux. Qu’au reste , il pouvait affirmer devant Dieu et sur sa conscience qu’il n’avait couru aucun autre danger. Il déclara que, selon son opinion , le métal qui bouillonnait dans le puits était de l’argent en fusion, mais qu’il faudrait plus de monde pour pouvoir en tirer un échantillon.