plaire à tous ceux qui en auront connais sance. Ainsi j’espère que les fautes que l’on trouvera dans cet ouvrage seront excusées, j’entends, par les gens d’esprit, toujours très- disposés à l’indulgence : quant aux sots et aux médisants, je sais qu’on ne peut leur échap per , car il est certain qu’ils n’épargnent per sonne.