L’OUNYORO. 481 cions déjà, fort empressés de le reconduire, quand il réclama le présent d’adieux que nous lui devions et sur lequel comptait sa femme. Je lui fis honte de ses perpétuelles demandes, en termes assez énergiques pour le faire changer de couleur : « Irokh to- fjend! (partons !) » s’écria-t-il d’un ton passablement irrité. Frij se mit à siffler, mais on ne tira pas, et comme on nous deman dait compte de la salve omise : « Il serait messéant, répondis-je, de manifester quelque joie lorsque notre hôte s’en va. >* La preuve qu’il nous gardait rancune, c’est que nous n’avons pas reçu ce soir le moindre pot de pombé.