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NOTES. 227 le tournant vers un autre côté. Il serait curieux de publier aujourd’hui de tels livres , ou seulement leurs extraits. Pag. 127 , ligne 6. (Les Juifs devinrent nos imitateurs , nos disciples. ) Voy. à ce sujet le tome i cr des Recherches nouvelles sur VHistoire ancienne, où il est démontré que le Penlateuque n’est point l’ouvrage de Moïse : cette opinion était répandue dans les premiers temps du christianisme, comme on le voit dans les Clémentines, homélie 11, §. 5i , et homélie viu, §. \'X\ mais personne 11’avait démontré que le véritable auteur fut le grand-prétre Helkias, l’an 618 ayant J.-C. Pag. 128, ligne 11. ( Tant de choses analogues au chris tianisme,) Lesparsis modernes et les mithriaques anciens, qui sont la mémç chose, ont tous les sacremens des chré tiens, meme le soufflet de la confirmation. <c Le prêtre de Mithra, dit Tertullien, De prœscriptione, c. 4°, promet la délivrance des péchés par leur aveu et par le baptême • et s’il m’en souvient bien, Mithra marque ses soldats au front (avec le chrême f Kouphi égyptien); il célèbre l'obla tion du pain, l’image de la résurrection, et présente la cou ronne, en menaçant de l’épée, etc. » Dans ces mystères on éprouvait l’initié par mille terreurs, par la menace du feu , de l’épée, etc. , et on lui présentait une couronne qu’il refusait, en disant : Dieu est ma cou ronne. Voy e'z cette couronne dans la sphère céleste , à côté de BooteS. Les personnages de ces mystères portaient tous des noms K animaux constellés. La messe n’est pas autre chose que là célébration de ces mystères et de ceux d’Éleu- sis. L c Do minus vobiscum est à la lettre la formule de ré_ ception chon-k, àm, p-ak. Voy. Beausobre, Histoire du Manichéisme, tom. n.