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pression, que je provoquai du reste moi-même, de concert avec M. Double, des rapports verbalise offi ciels, des rapports verbaux faits par ordre de l’Aca démie et qui absorbaient un temps précieux? Com ment, depuis la suppression de ces rapports officiels, n’a-t-il pas vu, centfois pour une, de longues discussions rouler sur des livres imprimés ; des Commissions ap pelées à examiner la critique d’une théorie, d’une démonstration, d’une formule contenues soit dans des ouvrages d’académiciens, soit dans des traités dus à des étrangers ? Au nombre de ces traités, faut-il donc que je cite le 3 e vol. de la Théorie analytique du Sys tème du Monde de M. de Pontécoulant,publié en 1834, où M. Le Verrier a trouvé des erreurs signalées par lui à l’Académie dans un Mémoire sur lequel il vient d’être fait un rapport? En vérité, je n’aurais jamais cru que l’amour-propre blessé pût, d’un seul et même coup, obscurcira ce degré le bon sens, la mémoire et la logique. M. de Pontécoulant assure, dans sa lettre au rédac teur du Journal des Débats, « qu’il n’a jamais établi » aucune espèce de comparaison entre cet Observa- » toire (l’Observatoire de Greenwich) et celui de » Paris. » Moi, j’avais lu dans l’introduction du Précis d Astronomie, p^ge xxvx, a Ce qui m’a à la fois étonné » et charmé davantage (à Greenwich), car nulle part je » n’avais rien vu de pareil, c’est la régularité avec » laquelle se font les observations, etc. » ; et à la page suivante, à la page xxvii, « Si, dans le coup d’œil » que nous venons de jeter sur les progrès récents des ?> sciences astronomiques, la France paraît un mo~ » ment descendue du haut rang quelle avait occupé