176 EXPOSITION UNIVERSELLE DE 1878. Gr. IV. dans sa marche rétrograde, à élever autant de murailles chinoises — uu’il v a d’États dans son sein. Le fait est malheureusement in- Cl 37 • contestable! 11 s’impose à tous les esprits sérieux et clairvoyants : à moins d’une révolte générale du bon sens contre 1 esprit de réaction et de routine, c’en est fait, dans notre pays, comme dans l’Europe entière et dans le reste du monde, du libre trafic et de l’indépendance des échanges. Quelle (pie doive être la solution a laquelle s’arrête le Gouvernement, nous tenons à honneur de dé clarer (pie les industries en vue desquelles nous avons rédigé ce liapport, protesteul contre toute aggraiation des droits actuels, et, non seulement s’élèvent contre toute mesure rétrograde, mais re clament l’abolition sinon complète, au moins progressive de tous les droits pesant sur la matière première. On le voit, les industries au nom desquelles nous avons parlé sont, non seulement intéressantes par les bienfaits quelles répan dent au sein des classes ouvrières et par le chilFre considérable d’ad’aires qu’elles représentent, mais par le désir et le besoin qu’elles ont de vivre sous un régime de liberté, sinon absolue, du moins aussi large que possible. .Iuijbx IIayem.