PRÉFACE. xj donne la description, et je me suis fait un devoir de rectifier celles qui m’ont échappé à moi-même. Les livres les plus parfaits ne sont point exempts de fautes; quand des hommes aussi sincèrement amis de la vérité que l’abbé Manoel Ayres de Cazal, mon- segnor José de Sousa Pizarro e Araujo, le docteur Pohl, le général Raimundo José da Cunha Mattos se sont quelquefois trompés, qui pourrait se flatter de ne se tromper jamais ? Des observations critiques auxquelles je me suis livré pour remplir le but que je me proposais, il ré sulte que cet ouvrage se trouvera chargé d’un très- grand nombre de notes dont la lecture mêlée à celle du texte serait peut-être pénible quelquefois. On fera bien, par conséquent, de lire ce dernier en lais sant de côté les notes, et de revenir à celles-ci après avoir achevé chacun des chapitres dont l’ouvrage se compose. Pour faciliter les recherches, j’ai eu soin d’indiquer les notes critiques à la table générale sous le titre de rectifications. Le général Raimundo José da Cunha Mattos a fait sentir (1 ) combien il est essentiel de conserver soi- (11 Hincrarin.